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Prochaine ouverture:

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EXPOSITION

dans le cadre du printemps culturel

de la ville de Rueil Malmaison

 

 2 au 8 mai, De 14h à 18h

Adam et Eve

ou

l'errance de la connaissance

L’exposition de l’artiste MC invite à nous interroger sur la connaissance, le savoir. Et si chacun de nous réinstallait des pourquoi ? A l’aube d’une nouvelle ère numérique, où l’intelligence humaine se voit distanciée, cette exposition empreinte d’actualité, ne laissera personne indifférent.

Tarif : 5€ (avec la visite guidée des salons).

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Démarche artistique:

« ADAM et EVE » ou l’errance de la connaissance

Mon fils Joseph est né en 1984. Pour ses 30 ans, je me suis mise en recherche des événements majeurs de son année de naissance. En 1984, l’ordinateur rentrait dans nos maisons, avec notamment l’arrivée du Macintosh.

Pour comprendre mieux cette invention, j’ai lu la vie de Steve Jobs car 7 ans auparavant (2007) j’avais moi-même acheté un « Apple ».

En lisant la vie de ce génie, je me suis sentie embarquée dans son imagination, le fait qu’il mangeait des pommes lui inspirants les noms « Apple » et « McIntosh » (variété de pommes). Ces mêmes pommes qui, d’après la légende, avaient permis trois siècles auparavant à Isaac Newton de découvrir la loi relative à la gravité universelle.

Avec ce petit morceau de pomme croqué, mon éducation religieuse m’amena alors à Adam et Eve et au fruit de l’arbre de la connaissance.

Aurions-nous trop abusé de la connaissance ? Et quelle connaissance ?

A cet instant prit naissance la création de mon premier « Adam et Eve », plongé dans l’univers de l’an 2000, entouré de codes-barres.

Ces codes-barres, définissant ce que nous consommons, finissent-ils par définir ce que nous sommes vraiment ?

Lors de mes premières créations, j’ai travaillé exclusivement avec des codes-barres de bouteilles d’eau. Ne sommes-nous pas composé à 70% de H2O !

Comme cette eau commençait à manquer, mes « Adam et Eve » ont naturellement évolué. Le sigle du recyclage m’évoquant le « Ying » « Yang » est tombé dans la main d’Eve.

Le Ying représenté en noir rappelant entre autres le principe féminin, mais aussi la lune, l’obscurité, la fraicheur, la réceptivité ; Laisse apparaitre en blanc le Yang, qui de son côté, représente plutôt le principe masculin, ainsi que le soleil, la luminosité, la chaleur, l’élan, l’action.

Eve est ensuite devenue « horizontale » à l’image de la pureté de l’horizon. Adam, quant à lui, est représenté « à la verticale » enraciné dans la terre.

Pendant le covid, je me suis inspirée d’un « Adam et Eve » chassés du paradis de Giotto... chassés de la lumière !

Puis, me vint l’idée d’un Adam et Eve « primitifs de l’an 2000 ». Une grotte en codes-barres dans laquelle se trouve « une main » rappelant Lascaux ; main prise sur une enveloppe de la poste, tel un lien entre les hommes, ce lien indispensable à la condition humaine.

En 2023, c’est un souvenir de mes 25 ans qui m’inspira. Lorsque je suis allée visiter la chapelle Sixtine, j’ai été fascinée par « et Dieu créa l’homme ». Cette fascination s’imprima en moi et donna naissance à « l’homme créa l’homme » puis « l’homme formata l’homme » dans un monde
ou « l’intelligence » ne cesse de progresser...

Une histoire de chewing-gum

Si, le code-barres a initialement été breveté par les Américains Norman Joseph Woodland et Bernard Silver en 1952, il n’a vraiment été perfectionné et commercialisé qu’à partir de 1971 sous l’impulsion de l’ingénieur Américain George Laurer. Le 3 avril 1973 le code-barres est devenu, après des concertations entre grands industriels et distributeurs, le système utilisé pour identifier les produits de grande consommation qu’ils allaient s’échanger dans les décennies à venir. Il sera ensuite connu sous le terme de EAN-13 pour » European Article Number » et 13 comme nombre de chiffres qu’il comporte.

Le premier article à avoir été scanné en 1974 dans l’Ohio était un paquet de chewing-gum aux fruits désormais au musée national d’histoire américaine à Washington.

(Article Le point « Le code-barres fête ses 50 ans, avant son remplacement progressif par le QR Code » Source AFP - Publié le 01/04/2023)

Après lecture de ce texte, on me fit remarquer que mon fils Joseph était né un 13 ... La boucle était bouclée.

De l’idée à l’exposition

Une fois ces œuvres réunies, j’ai pu partager auprès de proches amis mes idées, mes questions...

La comtesse Marie Louise Czarnecki, mon amie depuis plus de 40 ans, fut la première à croire en cette idée.

Elle si croyante et à l'esprit si moderne, compris tout de suite le message que je souhaitais transmettre. Elle me fit promettre, avant de nous quitter, d’oser dévoiler mes œuvres au public.
Une démarche qui m’est bien peu commune, pour moi, une simple citoyenne originaire de Gien.

C'est son fils Stefan Czarnecki qui m'ouvre maintenant les portes du château de la Petite Malmaison. Quel magnifique écrin pour mettre en lumière mes œuvres et vous dévoiler mon art.

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Fermetures exceptionnelles:

dimanche 7 avril et dimanche 28 avril.

(les salons sont réservés pour l'enregistrement d'un CD consacré à l'intégrale

des mélodies de Bizet)

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Tout le long de l'année:

 

Visite des salons:

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> chaque dimanche à 15:30 d'avril à octobre (sauf fermeture ou ouverture  exceptionnelle)

 

Toute l'année:

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> visite à 15:40 le jour des concerts

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> visite pour les groupes sur rendez vous.

 

> mise à disposition des salons pour réceptions, journées de travail,...

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adresse face book :

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